Les jours se font et se défont comme une pelote emmêlée.
Le monde se consume comme des braises et nous pauvres cons restons à le regarder.
L’âge passe et grandit ; et la sève ne fait que remonter avec un arrière goût de vomi.
Les galères passent et changent de gueule et le souvenir pâlit.
Toujours les mêmes poèmes à coucher.
Toujours les mêmes rêves à réaliser, un peu plus amers mais toujours gais.
La vie est une salope qui drague sans se donner !
1 commentaire:
Comment osé déclarer le manque d'aumône de mère la vie, quand celle ci t'a donné cette force miraculeuse de t'exprimer a nos coeur qu’a nos oreilles ?
Je n'aime pas tes idées sombres, mais j'aime les entendre, mon oreille s'y repose quand mon coeur y beigne...
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