L’été évanescent ne nous laisse que l’espoir de le retrouver et des oripeaux de souvenirs pour s’accrocher.
La vigne vierge rougit à la venue du vent conquérant tandis que les feuilles agonisantes échevellent un arbre vieillissant.
L’air humecté, mouillant l’œil, nous ramène les premières pluies et nous rappelle les sombres nuits.
Un simulacre d’été s’en est allé !
1 commentaire:
Peux pas poser de commentaires sur Méditerranéenne??!
Alors je le fait ici :
J'aime beaucoup la fin que tu donnes à tes poèmes au sujet un peu tristounet. Tu arrives à ramener un sourire, à nous rassurer après nous avoir emmener dans un spleen à la beaudelaire. Voilà c'est ça : du beaudelaire, en moins déprimant.
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