vendredi 27 avril 2007

Pelote


Les jours se font et se défont comme une pelote emmêlée.

Le monde se consume comme des braises et nous pauvres cons restons à le regarder.

L’âge passe et grandit ; et la sève ne fait que remonter avec un arrière goût de vomi.

Les galères passent et changent de gueule et le souvenir pâlit.

Toujours les mêmes poèmes à coucher.

Toujours les mêmes rêves à réaliser, un peu plus amers mais toujours gais.

La vie est une salope qui drague sans se donner !



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1 commentaire:

Anonyme a dit…

Comment osé déclarer le manque d'aumône de mère la vie, quand celle ci t'a donné cette force miraculeuse de t'exprimer a nos coeur qu’a nos oreilles ?
Je n'aime pas tes idées sombres, mais j'aime les entendre, mon oreille s'y repose quand mon coeur y beigne...