lundi 3 septembre 2007

Ma ville



Sur cette terre retournée,

Gravissant les collines

Et s’arrachant du plancher ;

Ma ville opaline

Domine la mer médusée

Qui cherche, câline,

A caresser la belle cité.


Voici mon Alger,

Mon roman noir

A la blancheur immaculée.

Ma joie et mon désespoir

Ma tristesse et ma fierté.


Telle une reine décharnée

Dont le sourire édenté,

Reflète la gloire passée,

Alger vous accueille

En son sein, de tendresse, assoiffé.

Que tant d’écueils

Lui ont refusé.

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2 commentaires:

Anonyme a dit…

j'adore, c'est de l'espoir que tu nous écrit la, même si a tous il faut le courage de regarder au dela du sourire édenté tu la déjà fait pourquoi ne pas le refaire?

Anonyme a dit…

This is great info to know.