Sur cette terre retournée,
Gravissant les collines
Et s’arrachant du plancher ;
Ma ville opaline
Domine la mer médusée
Qui cherche, câline,
A caresser la belle cité.
Voici mon Alger,
Mon roman noir
A la blancheur immaculée.
Ma joie et mon désespoir
Ma tristesse et ma fierté.
Telle une reine décharnée
Dont le sourire édenté,
Reflète la gloire passée,
Alger vous accueille
En son sein, de tendresse, assoiffé.
Que tant d’écueils
Lui ont refusé.
2 commentaires:
j'adore, c'est de l'espoir que tu nous écrit la, même si a tous il faut le courage de regarder au dela du sourire édenté tu la déjà fait pourquoi ne pas le refaire?
This is great info to know.
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